JANESSA

Âge: 17 ans.
Nationalité: Française
Orientation: Hétérosexuel
Statut Célibataire
Études: Musicologie
Groupe: Studients ^^
Scénario
Personnage inventé

Janessa est une jeune fille avec un caractère plutôt commun, elle est très gentille avec les autres, elle n’aime pas faire la faux cul, elle est au contraire plutôt franche et prête à tout pour que tout le monde soit sur de ce qu’elle pense, elle n’est pas jalouse des autres filles qui sont populaires, elle l’est elle-même et se sent très bien avec sa vie même si tout n’est pas rose. La brunette est plutôt chaleureuse et anti renfermement, elle aime faire la fête et faire de nouvelles connaissances… Janessa est très douce et il est très difficile de s’imaginer qu’elle soit aussi folle lorsqu’elle est en colère, une vraie furie qui sait bien se battre et qui n’a peur de rien, de personne. Elle est plutôt ouverte d’esprit, elle n’est pas raciste et accepte très bien l’homosexualité, elle perfectionniste, responsable et plutôt indépendante. Janessa est néanmoins truffée de défauts que tout le monde voit un jour ou l’autre, elle ne s’en cache d’ailleurs pas une seule seconde puisqu’elle considère qu’avoir des défauts s’est une force. Elle est tout d’abord plutôt sanguine, elle ne sait pas restée calme lorsque quelqu’un l’énerve et elle peut très vite partir au quart de tour. Elle est très obstinée et susceptible ce qui pose de nombreux problèmes à ses proches, elle n’est pas forcément jalouse mais il ne faut pas aller trop loin avec son mec pour éviter qu’elle s’énerve. Elle peut être une vraie garce avec les personnes qu’elle n’aime pas même si elle essaye de ne plus aller aussi loin qu’il y a un temps.

Plus grand secret: Janessa n'est jamais sortie avec un garçon parce que son père la violait jusqu'à ce qu'elle quitte le foyer familial.
Particularité: Elle est mal dans sa peau et est donc une adepte de l'automutilation.
Fantasme: Faire l'amour avec un loup garou :love1:
Introverti ou Extraverti: Extraverti
Rose ou Bleu: Bleu
Amérique ou Europe: Amérique
Taille et poids: 173 centimètres ; 55 kg

Âge: 15 ans
Fréquence de connexion: 5/7 J
Où avez-vous trouvé le forum: ça le dit
Avatar: Troian Bellisario
Code du règlement: Fuck you, fuck you very very muuuch ♫
Commentaire: Prout !!!!! :superman:

I'm born today !!!

Paris, avril 1994 mes parents ne le savaient pas encore, mais ils allaient mettre au monde une petite fille, ils ne voulaient pas connaitre le sexe de l’enfant et ils souhaitaient avoir un garçon. Manque de chance pour eux après deux bonnes heures dans un bloc opératoire je me retrouvais expulsée du corps de ma mère, ils étaient déçus forcément, mais j’étais là et ma mère était aussi heureuse que si j’avais été un garçon. Elle me trouve rapidement un prénom qui sonne américain, Janessa. Tout s’enchainait très vite par la suite, comme toute enfant qui avait un minium d’argent mes parents me gâtaient et m’offraient tout ce que je désirais, je n’étais pas trop chiante à cette époque et ils en étaient content parce qu’ils s’attendaient à avoir un bébé qui hurlerait toute la journée et qui les empêcheraient de dormir la nuit. L’enfer pour des gens normaux ! Mes premiers pas à l’école furent magique, j’étais plutôt jolie et je faisais déjà craqué les petits garçons à cette époque, j’aimais bien avoir pleins d’amoureux comme toute les petites filles de mon âge. Je me retrouvais ensuite à l’école primaire et la vie continuait, nous respirions tous le bonheur… Durant un temps.

Go to hell !

J’aurais aimé que ma vie reste comme elle l’était à cette époque, mais l’entrée au collège fut terrible pour moi, j’étais encore jeune j’avais a peine 12 ans à mon entrée en sixième, j’étais une jeune fille heureuse qui aimait encore bien avoir un petit copain dans les environs, oui mais… Plus maintenant ! Un soir alors que je dormais tranquillement dans ma chambre j’ai entendu ma porte s’ouvrir, la lumière s’allumée, j’ai levé les yeux et j’ai vu mon père. Tout ce passait bien, mais j’ai très vite compris qu’il allait ce passer quelque chose de désagréable lorsqu’il a mit sa main contre ma bouche et qu’il à laissé tomber son boxer sur le sol. Ma première fois fut surement la plus horrible que je puisse avoir. Après cet événement je n’ai plus jamais adressé la parole à mon père, je pensais qu’il avait peut-être fait une erreur, mais j’étais bien conne de croire cela. Pendant les 4 années qui ont suivis ce premier viol mon père revenait tout les soirs… J’ai bien tenté de le dire à ma mère mais elle refusait de me croire, j’étais seule face à mon père chaque nuit, je ne dormais plus et je tentais pas tout les moyens de fuguer d’ici. J'ai eu la chance de ma vie, pour mes 16 ans j’'ai eu le courage de prévenir ma grand-mère qui vivait aux États-Unis, elle était la seule qui pouvait me comprendre puisqu’elle avait été violée par son meilleur ami pendant une soirée trop arrosée. Je commençais enfin à voir la lumière au bout du tunnel.

A new horizon !!

Ma grand-mère m’a tout de suite comprise et savait très bien que je ne mentais pas, elle à surement fait la chose qui aujourd’hui me fait dire que si je n’étais pas partie de cette putain de baraque je serais morte. Elle s’est battue jusqu’au bout pour obtenir ma garde et lorsque ça était chose faite j’ai pris mes valises et je ne suis jamais revenue en France, même si tout le monde pourrait croire que j’ai tourné la page après avoir pris la route pour l’Amérique j’en garde un souvenir atroce encore aujourd’hui. Depuis le premier jour où il a posé la main sur moi je déteste les hommes, je ne veux plus avoir aucune relation avec personne et j’ai toujours réussi à tenir cette résolution. Lorsque je suis arrivée ici, je ne savais pas parler l’anglais mais j’ai vite fait avec, lorsque j’ai commencé le lycée aux States et j’ai sombré dans une longue phrase de dépression, ma vie ne me manquait pas bien au contraire, j’étais juste encore hantée par toutes les images de mon père lorsqu’il me touchait, j’ai même fait une tentative de suicide, mais j’ai finalement arrêté à temps, il m’arrive encore de me taillader pendant mes moments de déprimes parce que je ne me suis toujours pas remise de ces années qui m’ont fait vivre un véritable enfer. Maintenant que je suis à l’université j’espère que je pourrais enfin recommencer à vivre, il est grand temps que je commence à penser plus au présent et moins au passé.