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| BROOKLYN | |
| | Auteur | Message |
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Elaïs
Messages : 62 Date d'inscription : 24/10/2011
| Sujet: BROOKLYN Lun 24 Oct - 14:52 | |
| brooklyn parker
Hello! Je me présente: brooke parker. Je suis né(e) le 7 septembre 1991 et je viens de Calgary, quelque part au Canada, ce qui me fait aujourd'hui 20 ans. Côté coeur, je suis célibataire et attiré(e) par les garçons. D'ailleurs, on dit de moi que je suis une personne plutôt directe de ce côté-ci. Pour en finir avec cette introduction, sachez que je fais partie de la confrérie students et que je suis un personnage inventé
dossier d'étudiant
| Des soucis avec ta famille ? Ton caractère
Alors, mon caractère... Et bien dans l'ensemble, je suis quelqu'un de très basique, mais qui a quand même cette différence qui fait que je suis à part. Mais allons-y, creusons plus profondément, commençons donc par mes défauts... Je suis quelqu'un de très compliqué et, j'insiste sur le "très". D'abord, je ne sais jamais ce que je veux.. Je suis très difficile, que ce soit pour choisir un vêtement dans un magasin, ou de savoir si je dois prendre un yaourt ou une pomme au dessert ou encore si je dois passer à l'étape supérieure avec un mec... C'est vraiment gênant à chaque fois, mais c'est plus fort que moi. Voilà ce qu'on me dit quand c'est le cas : « Qu'est-ce que tu peux être chiante quand tu t'y met ! ». Ensuite, on me dit souvent que j'ai une grande gueule. Il est vrai que, je n'hésite pas à dire à n'importe qui, de ce que je pense et à le dire très fort, quand je le juge nécessaire. Et pour ça, il faut du cran il parait. Puis au fond, je ne suis pas du genre à m'écraser, c'est lâche. Je suis aussi égoïste. Et ça, je n'ai pas peur de l'avouer parce que c'est vrai, je ne pense qu'à moi. A moi et rien qu'à moi. C'est peut-être injuste mais c'est comme ça. Dans le sens où je ne suis pas prête de donner si je n'ai rien en retour. Je suis plutôt radine, donc. Mais bien sûr j'ai également des qualités comme tout le monde, cela va de soit. A savoir, je suis sociable et ouverte. Je n'hésite pas à aller vers les autres, même vers les personnes que je ne connais pas. Je m'intègre facilement quand il s'agit de faire quelque chose en collectif. Même si parfois on me fait comprendre que je suis la nana qui s'incruste, mais au final je le prends très bien. J'ai aussi un grand sens de l'humour et je me vexe très rarement. J'aime plaisanter, sortir des blagues ringardes, juste pour amuser la galerie. En effet, je suis toujours de bonne humeur et j'aime mettre l'ambiance quand il le faut, mais sans pour autant passer pour une idiote. Drôle et sympathique selon mon entourage. Des fois, il m'arrive d'être rêveuse et d'avoir une imagination débordante. Je suis très forte pour inventer des mensonges, même si je n'aime pas mentir. En général, je suis une fille qui aime profiter de la vie !
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vous irl
pseudo: Kirana âge: Je ne sais pas :ôô: fréquence de connexion: 7/7 *Geek* où avez-vous trouvé le forum: Oh... Je suis une ancienne membre x) avatar: Megan Fox est-ce un multi-compte?: Non commentaire: Vive moi :pc: code du règlement: - Spoiler:
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| | | Elaïs
Messages : 62 Date d'inscription : 24/10/2011
| Sujet: Re: BROOKLYN Lun 24 Oct - 14:57 | |
| ton histoire Chapitre I - L'enfance Tout commença le 7 septembre 1991, autrement dit ma naissance. Un jour banal et comme les autres à Calgary, quelque part au Canada. Ce jour-là, la météo était assez mauvaise, il faisait gris et froid. Je n'ai jamais su vraiment, si j'étais voulue de la part de mes parents, mais je peux vous dire qu'ils avaient très peur de mon arrivée. Peur, parce qu'ils ne savaient pas réellement ce qu'un bébé pouvait changer dans la vie d'un jeune couple. Je dis jeune, parce que ma mère avait 20 ans et mon père 21 ans, lors de ma naissance. Ils se sont rencontrés parce qu'ils étaient dans le même lycée. Ils se sont tout de suite entendu, puis très vite aimés. Par la suite, ma mère tomba enceinte lors d'une soirée bien arrosée. C'est seulement au bout de trois semaines qu'elle s'en ai rendu compte. Ils ne me voyaient pas comme une erreur, mais comme une chance et ils ne le savaient pas encore, mais j'étais leur premier et dernier enfant. Une fois ma venue au monde ils ont pu le constater ; la venue d'un bébé change effectivement beaucoup de choses au sain d'un couple. Alors, ma mère a arrêté ses études pour s'occuper de moi et mon père a dû également les arrêter également mais pour trouver un travail qui en passant n'a pas traîner à en trouver un, puisque ce travail était dans l'entreprise de mon grand-père. Et ainsi, il a pu avoir un salaire convenable pour subvenir à nos besoins. Ils étaient peut-être jeunes, mais ils ont vite appris à être responsable et adulte. Après ça, tout c'est fait très vite ; ils ont emménagés ensemble, ils se sont mariés et ont su à peu près remonter la pente. Cela a était assez facile, parce que leurs parents ont étaient compréhensif et les ont aidés. Ils eurent une vie aussi simple et basique qu'on pouvait espérer avoir. Je devenais une petite fille comblée. J'étais, sans me vanter, calme et agréable, ce qui enchantait davantage mes parents. Et cela a continué au fil des années, allant à une école primaire et public. Parmi cette école, j'étais une petite fille mignonne par les professeurs et une chouette copine par les amies. Bref, j'avais ce qu'on pouvait souhaiter à cet âge, mais dieu seul savait ce qui nous attendait par la suite...
Chapitre II - L'adolescence Vous savez ce que c'est quand on est adolescente ? C'est là où on se rebelle, là où on a les hormones qui travaillent et là où on s'imagine vraiment de tout et de n'importe quoi... Et bien voilà le genre d'ado que j'étais, mais en bien pire... J'étais la sale gosse qui sombrait dans la délinquance. Mais cela ne tenait rien qu'à moi, parce que du côté de mes parents, tout allait à merveille ! Pour ainsi dire, mon père succédait à l'entreprise de mon grand-père devenant ainsi, l'un des plus grands et jeunes PDG de la ville et pour ma mère, elle avait trouvé un emploi honnête dans une banque. J'avais des parents friqués, mais moi ce qui m'intéressait, c'était d'être la fille la plus populaire du collège. J'étais prête à tout pour avoir davantage de respect de la part des autres. On me disait de voler un jeu vidéo, je le faisais. On me disait de braquer une personne âgée pour avoir son sac à main, je le faisais. Et cela finissait à chaque fois au commissariat. Et à chaque fois, je leurs disais : « Je m'en fous de ce que vous pouvez me dire, mes parents vont arriver dans pas longtemps de toute façon. ». Mes parents arrangeaient les bêtises que je faisais, en continu et pendant des années. Mon père a pensé à un moment à m'envoyer en pension, le temps de me calmer. Mais ma mère souffrait de l'éloignement. Malgré tout ce que je pouvais lui faire subir, elle m'aimait. Sans le savoir, je causais également des ennuis dans leur couple. Vers mes 15 ans, mon père en a eu marre. Il a alors commencé à me frapper, pour me faire comprendre mes actes. Et quand je dis "frapper", je pèse mes mots. Ca dépendait du moment ; des fois c'était de simples bonnes claques comme des fois, c'était des bon coups de poings. Il avait peur pour sa réputation, surtout. Malgré les coups que je recevais toutes les semaines de sa part, j'avais cette voix au fond de moi qui me disais de continuer. Et c'est ce que j'ai décidé de faire. Quelques années plus tard, j'étais lycéenne. Mais une des lycéenne les plus respectées et populaire du bahut. J'avais ce que je voulais depuis toujours, dans un sens. Je me souviens qu'un fameux soir, je voulais faire quelque chose de grand. C'est alors qu'avec trois amis, qu'on s'est mis à taguer les murs du lycée. Un bel et grand tag apparaissait sur un de ses murs. Mais juste après ça, j'ai commencé à regretter. Je pensais à ce que mon père allait me faire et, j'en ai eu peur. Je voulais fuguer pour ne pas l'affronter, mais c'est ma mère qui me préoccupait le plus, à cet instant. En effet, pendant ces derniers mois, elle a commencé à me défendre. Je n'étais pas du tout un ange, mais elle me défendais. Parce que j'étais sa fille, comme elle me disais. Donc elle se faisait frapper à ma place, sauf qu'elle, elle a eu le courage de se plaindre et, de porter plainte. Elle a commencé à avouer tout ce qu'ils nous avaient fait ces dernières années et, elle profita du moment pour divorcer. Tout allait en sa faveur et mon père en pris alors pour trois ans de prison. Ma mère avait de la famille quelque part à Los Angeles, en Amérique. Une ville bien sympathique selon elle. Et, elle me proposa donc d'y aller pour y vivre une fois le divorce prononcé. C'était l'occasion de me ranger du bon côté et d'avoir une nouvelle vie... Une fois arrivées à San Francisco près de notre famille, nous avons su nous faire une nouvelle vie. J'allais à un nouveau lycée, j'avais de nouveaux amis. Et ce changement de vie m'a permis également de changer ma vision des choses. L'envie de faire des conneries autour de moi, m'étais passée, si je peux dire. Et je me suis jurée à cet instant précis, que plus tard, j'aurais un boulot honnête et que je serais quelqu'un de bien. Et je ne le vous l'ai pas dit, mais j'ai toujours aimé le sport. En particulier, l'athlètisme. Il m'arrivait dans mon adolescence, de courir après les cours ou très tôt le dimanche. Mon père était soit au boulot, soit entrain de dormir. Quant à ma mère, elle ne faisait que m'encourager. « Cours bien, ma fille » en me souriant. Du coup, j'allais jusqu'au parc et là, je me défoulais. Je courais aussi longtemps que le voulais. Sans avoir mon père sur le dos, pour me dire d'arrêter. Quoiqu'il en soit, il n'était plus là à présent. Et ma mère, comme j'approchais la majorité, m'a conseillé de poursuivre mes études dans ce sport. Ce que j'ai fais, bien entendu.
Chapitre III - La majorité [font=tahoma]Heureusement que j'avais ma mère à mes côtés. Elle qui m'a toujours soutenu et aidé dans les moments difficiles. A mes 18 ans j'étais majeur, mais je sortais également du lycée. Tout allait pour le mieux pour moi, car la rentrée prochaine était très spéciale. Oui très spéciale, car je rentrais dans l'une des universités les plus cotées la régio : l'UCLA. Rien que pour m'y être rendue pour l'inscription, j'étais de plus en plus excitée. Je me souviens avoir dit à ma mère : « Man'. C'est là que je vais continuer mes études. Là, que je vais pouvoir montrer ce que je sais faire sur une piste. Merci ! ». C'est très touchant, je sais. Mais une fois le jour-j passé. Quelques mois plus tard. J'ai eu ma première histoire vraiment sérieuse : Chris. Actuellement, nous nous sommes perdus de vue, mais je m'en souviens encore de notre histoire. Depuis le lycée, nous avons tout fait ensemble. Il avait la même passion, l’athlétisme. Les soirées dans ce fameux parc me manquent tellement. Vous savez, c'était des soirées là où le ciel est de couleur rose-orange. Des amis auraient juste, regardaient un film bidon et à s’empiffrer de pop-corn. Nous, non. C'était dans un parc, à courir comme des malades et rien que pour le plaisir. Ça nous a rapprochés tout les deux, aussi. Nous avons d'abord été amis. Puis les sentiments sont venus et le reste s'est fait. Mais hélas, du jour au lendemain, il a déménagé seul au Mexique pour une raison que j'ignore. Je pensais que c'était sérieux entre nous, j'étais prête à passer à l'étape supérieure, même. Je n'ai jamais su si c'était à cause de moi, où ça venait de lui. Alors, nous avons dû poursuivre nos vie séparément. Aujourd'hui, je fais ma deuxième année à l'UCLA. Ça ce passe pas trop mal. Ceux qui sont dans la catégorie "sport", sont de sportifs. Mais la plupart sont des gars. Donc je dois me faire respecter. J'y arrive, j'y arrive. Je dois aussi me faire respecter face à des "poupées bien foutue", qui se la pètent. Pourquoi elle me provoquent ? Parce que, je suis différente d'eux. Mais il y a une chose que j'ai appris avec mon père... C'est de ne jamais lâcher les bras. Oh, je ne dis pas que je suis une victime, hein. Je rencontre, aussi, des personnes formidables. Concernant ma famille, tout est redevenu normal. Mais une chose est sur ; je ne suis pas prête de refaire confiance à un homme. Pour ce qui est de mon père, dieu seul sait ce qu'il est devenu...
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