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 intrigue

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AuteurMessage
Esmée
Invité




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MessageSujet: intrigue   intrigue EmptyLun 24 Oct - 16:44




intrigue : la mort.

❝ La mort est une journée qui mérite d'être vécue. ❞


24 mars 2011. Dans les couloirs du UCLA, c'est le silence complet.

Étonnant me direz-vous? Pour une université qui grouillait d'habitude de vie. Les étudiants déambulaient sur le campus normalement. Ils vivaient avec insouciance dans l'école. Mais aujourd'hui, mais maintenant, la seule chose qui planait dans l'atmosphère, était le silence. La peur. La mort.

La journée qui avait si bien commencée, avait tournée, au véritable désastre.

Ça a commencé par un mouvement de foule. Celui créé par cet étudiant au regard dur, les traits figés par la colère et la rage. Crée au moment où il a sorti un neuf millimètres automatique, modèle de 1950. Un héritage familial certainement. Il l'avait nettoyé avec soin et dévotion. Sa cross argenté brillait au reflet du soleil.

Ensuite, il y a eu les premiers coups de feux. Le son sec et pénétrant d'un revolver. Le bruit sourd d'une balle sifflant l'air. Le hurlement de ce jeune homme la recevant en plein dans la poitrine. Son corps lourd tombant à terre. Suivi par celui de sa camarade avec qui il discutait doucement.

Tout ça se transforma en un véritable bain de sang.

Les premiers réflexes fut de fuir. De se cacher sous les tables ou les bancs. Derrière les portes ou les casiers. Et bientôt, derrière les personnes.

Après avoir usé toutes les balles de son neuf millimètres, le jeune homme maigrichon au cheveux virant sur le roux, s'empara d'une Kalachnikov soigneusement rangée dans le sac de sport qu'il avait à l'épaule. Ce fardeau ne le gênait pas. Il semblait habitué à tirer. Il visait parfaitement bien. Mais avec cette mitraillette...

Lorsqu'il déboula dans l'amphithéâtre, il tira sur tout ce qui bougeait.

Les corps tombaient comme des mouches. Le sang formait une seule et même flaque entre les cadavres. Les touchés encore vivants, feintaient la mort pour survivre.

Le rouquin s'empara ensuite d'un M16 et rentra dans un autre bâtiment, exécutant sur sa route des jeunes qui tentaient de s'enfuir.

Cette journée était supposée être comme les autres.
[/font]



24 mars 2011. Dans les couloirs du UCLA, c'est le silence complet.

Étonnant me direz-vous? Pour une université qui grouillait d'habitude de vie. Les étudiants déambulaient sur le campus normalement. Ils vivaient avec insouciance dans l'école. Mais aujourd'hui, mais maintenant, la seule chose qui planait dans l'atmosphère, était le silence. La peur. La mort.

La journée qui avait si bien commencée, avait tournée, au véritable désastre.

Ça a commencé par un mouvement de foule. Celui créé par cet étudiant au regard dur, les traits figés par la colère et la rage. Crée au moment où il a sorti un neuf millimètres automatique, modèle de 1950. Un héritage familial certainement. Il l'avait nettoyé avec soin et dévotion. Sa cross argenté brillait au reflet du soleil.

Ensuite, il y a eu les premiers coups de feux. Le son sec et pénétrant d'un revolver. Le bruit sourd d'une balle sifflant l'air. Le hurlement de ce jeune homme la recevant en plein dans la poitrine. Son corps lourd tombant à terre. Suivi par celui de sa camarade avec qui il discutait doucement.

Tout ça se transforma en un véritable bain de sang.

Les premiers réflexes fut de fuir. De se cacher sous les tables ou les bancs. Derrière les portes ou les casiers. Et bientôt, derrière les personnes.

Après avoir usé toutes les balles de son neuf millimètres, le jeune homme maigrichon au cheveux virant sur le roux, s'empara d'une Kalachnikov soigneusement rangée dans le sac de sport qu'il avait à l'épaule. Ce fardeau ne le gênait pas. Il semblait habitué à tirer. Il visait parfaitement bien. Mais avec cette mitraillette...

Lorsqu'il déboula dans l'amphithéâtre, il tira sur tout ce qui bougeait.

Les corps tombaient comme des mouches. Le sang formait une seule et même flaque entre les cadavres. Les touchés encore vivants, feintaient la mort pour survivre.

Le rouquin s'empara ensuite d'un M16 et rentra dans un autre bâtiment, exécutant sur sa route des jeunes qui tentaient de s'enfuir.

Cette journée était supposée être comme les autres.
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